“Je suis moi, juste moi” ▌Relationship: ▌Citation: “Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu que leur baiser consume.” ▌About you:
Sujet: GABRIELLA • Never say Never. (♥) Ven 16 Juil - 17:14
IDENTITY CARD
NOM : Swan PRÉNOM : Gabriella Tinsley SURNOMS : Ella AGE : 17 ans DATE DE NAISSANCE : 12/04/1993 LIEU DE NAISSANCE : Philadelphie, USA RACE : Humaine PERSONNAGE : [X] PV // [ ] Inventé CÉLÉBRITÉ : Michelle Trachtenberg
PHYSIQUE & CARACTÈRE
PHYSIQUE :
J'ai toujours eu du mal à me décrire moi-même physiquement. Parce que tout le monde pense que je suis une personne narcissique, et égocentrique. Est-ce de ma faute, si je suis belle et désirable ? Laissez-moi vous montrer comment je me décris... Ma mère à toujours voulu que je sois parfaite. Pourquoi ? Je l'ignore. Elle voulait peut-être que je sois comme elle aurait voulu être lorsqu'elle était adulte. Or, je ne veux pas l'écouter. Je suis comme je suis, et c'est à moi de choisir comment je serais ! J'ai toujours été une demoiselle petite. Même à dix-sept ans, je ne dépasse pas les un mètre soixante-dix. Mais c'est une taille respectable pour une femme ! Ma cousine, Bella, est de la même taille que moi je pense. Mes cheveux sont assez longs, ils m'arrivent vers le milieu du dos, et sont d'un beau marron foncé, mettant en valeur la couleur pâle de mon jolie minois. Mes yeux sont très clairs, et mes lèvres sont légèrement rosées et pulpeuses. Mon corps est fin et frêle, mais au fond je suis une femme forte qui ne se blesse presque jamais. Ma peau est matte, tout en restant légèrement pâle, mais pas totalement blanche ! Au soleil, je bronze. Je l'avoue, je ne suis pas parfaite, j'ai également mes défauts comme chaque humain existant dans le monde. Sur mon bras droit, j'ai une cicatrice au poignet qui date du jour où mon chat ma mordit violemment. Depuis le temps, je n'y fait plus du tout attention, ce n'est qu'un détail. J'aime les vêtements simple et sobres. Je n'ai jamais été une femme qui aime se faire remarquer en mettant des tenues courtes et sexys, ce n'est pas du tout mon style. Je préfère rester simple et belle.
CARACTÈRE :
Je suis assez complexe, si je puis dire. J'ai toujours été gentille, et prête à aider mon prochain avec mes moyens. Cela fait la fierté de ma mère, mais je m'en fiche. Je suis aussi entêtée, lorsque je veux quelque chose, j'essaye de l'obtenir, peut importe le moyen utilisé. Indépendante, je ne me laisse jamais faire, et je prend seule mes décisions ! J'ai toujours été forte, même dans les pire situations, je n'ai jamais versé une larme, ou céder à la panique. J'ai toujours été optimiste, et non pessimiste. Pourquoi désespérer avec que la vie est loin devant nous ? Je suis sociable avec mon entourage, et j'ai beaucoup d'amis, ainsi que des millions de connaissances -façon de parler haha !-. Je suis toujours souriante, croquant la vie à pleine dents, et m'amusant avec ceux qui j'aime, mes amis en somme. Lorsque je suis en cours, je suis toujours sérieuse. Je ne suis pas première de classe, mais je me débrouille bien, obtenant toujours des résultats convenables. Moi, je suis franche. Je n'aime pas mentir, même si la vérité blesse, il vaut mieux la dire pour éviter des catastrophe, vous ne croyez pas ? J'aime rire et m'amuser, mais bien sûr sans abuser de l'alcool ! On sait peut de choses sur mon passé, et je préfère le garder pour moi. Le seul qui en sait plus que moi est mon frère. Je n'ai rien d'autre à dire sur moi...
RELATIONS :
Isabella Swanfeat. Kristen Stewart Bella est la cousine de Gabriella. Elles s'entendent très bien, et son de bonnes amies. Gabriella est venu passé du temps, avec son frère, chez son oncle et sa cousine pour renouer contact. Gabriella ignore tout des vampires et des loups-garous... Mais elle trouve que le comportement de Bella est étrange.
Jacob Blackfeat. Taylor Lautner Gabriella a rencontré une seule fois Jacob Black pour l'instant. Elle le trouva sympathique et amusant. Quoique un peu bizarre, parce qu'il ne portait qu'un short et une pair de basket en plein hiver. Jake se comporte bizarrement avec Gabriella.
Jérémy Swanfeat. Hayden Christensen Son frère. Ils sont comme chien et chat. Par moment, ils s'amusent bien ensemble, et s'apprécient énormément. Puis, d'autres jours, ils se détestent, et ne font que se disputer. Malgré cela, ils sont quand même frère et sœur, et s'aident mutuellement...
BEHIND THE SCREEN
SURNOM : Ella fera l'affaire OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : J'suis la Fonda' AGE : 12 ans LE FORUM TE PLAIT ? : Bien sûr =D NIVEAU RPG : 8/10 EXEMPLE DE RP :
Spoiler:
Elizabeth se réveilla vers onze heure du matin. C'était une heure tout à fait raisonnable pour une demoiselle en pleine fleur de l'âge, en vacances depuis un mois. Non, veuillez m'excuser... C'est beaucoup trop tôt ! Habituellement, les filles de l'âge d'Elizabeth dormait encore à poings fermés à cette heure, parce qu'elles avaient fait la fête toute la nuit. La blonde se leva, et se regarda dans son grand miroir accroché dans sa chambre, en plein milieu du mur violet pâle. Elle se regarda de haut en bas dans son tee-shirt blanc casé qui lui servait de haut de pyjama, et dans sa culotte de la même couleur. Il n'y avait pas à dire : Elizabeth était belle. Mais elle ne s'en ventait pas. Quoique, parfois, elle en abusait lorsqu'elle passait ses soirées avec Caroline Carter. La jeune femme enleva son pyjama improvisé, et mit des sous-vêtements fins et légèrement transparents pour le remplacé. Ensuite, la demoiselle aux cheveux blonds fouilla dans son armoire pour y trouver sa tenue du jour. Elle chercha pendant un moment, puis prit un tee-shirt violet, ainsi qu'un slim noir moulant. Elle trouvait que cela lui allait parfaitement, donc elle mit ses vêtements là. Puis, elle prit sa paire de chaussure à talons noirs. Elizabeth sortit ensuite de sa chambre, et descendit les escaliers avec un « clac, clac » énervant pour ceux de son entourage. Mais ce n'était pas de sa faute, si les talons faisaient du bruit !
- Hello ma belle !, dit sa mère en lisant le journal.
Elizabeth s'empêcha de rire lorsqu'elle s'assit à la table. Sa mère était mal coiffée, mais c'était toujours comme ça le matin. Elle n'était pas des plus belles ainsi. La jeune femme ne s'était pas maquillé, du moins, pour l'instant. Elle ne voulait pas gâcher son maquillage en buvant son café, en en mangeant ses céréales. Cela aurait été tellement stupide ! Elizabeth mangea rapidement son petit déjeuner, puis remonta dans sa chambre pour se pomponner comme une reine. Elle mit du fard à paupières noirs au dessus de ses cils, et mit du rouge à lèvres roses pâles. Et dire que le rouge à lèvres étaient fait avec de la chair de baleine ! Mais Elizabeth s'en fichait, elle, des baleines. Ensuite, la jeune femme alluma son portable sur son bureau, dans sa chambre. Décidant qu'elle n'avait rien d'autre à faire, ce premier jour de juillet, elle décida de regarder un film. Entretien avec un vampire, plus particulièrement. C'était un vieux film, mais elle le trouvait passionnant et très amusant. Elizabeth ne se doutait même pas que les vampires existaient réellement. Et puis, elle ne s'en soucis pas... Pour le moment. Bref. La demoiselle regarda le film, puis, se décida à glander sur facebook le reste de la journée. Vers dix-neuf heures, ou dans ses eaux là, le téléphone de la miss vibra. Elle avait reçu un SMS. De Caroline certainement. Le SMS disait : « Viens vers 8h, ok ? » La brune voulait invité encore une fois Elizabeth à la Great Forest s'amuser un coup. Parce que là-bas, les mots d'ordres étaient : alcool, sexe et drogues. Une nuit de folie attendait Elizabeth. Elle a beau être une jeune femme très sérieuse, elle sait aussi s'amuser et faire la folle lorsque la situation l'exige. Elizabeth sourit, puis décida d'aller chez Caroline. Un petit sourire se dessina brièvement sur les lèvres rosées d'Eli. Elle sortit de sa maison, et alla vers celle de Caroline à pied lorsqu'il était huit heures du soir. Et oui, les deux demoiselles n'habitaient pas loin de chez Elizabeth. Vu qu'il y avait une université à Everstown, la jeune femme habitait toujours chez sa mère. Rien ne servait à dormir à l'université, vu que c'était dans la ville où habitait Elizabeth ! La demoiselle arriva devant chez Caroline. Elle prit son téléphone, et lui envoya un message : « Je suis là ; Eli » La blonde appuya de son index vernit sur la sonnette, et attendit que Caroline lui ouvre. Ce qui ne tarda pas. La brune qui était une demoiselle totalement débauchée arriva dans l'embrasure de la porte, un joins en main. Elizabeth lui sourit.
- Hey, Caro ! Ca va ? Prête à faire la fête ?, demanda la blonde en souriant.
PRÉSENCE : 6/7
Dernière édition par Gabriella Swan le Mar 20 Juil - 17:46, édité 43 fois
“Je suis moi, juste moi” ▌Relationship: ▌Citation: “Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu que leur baiser consume.” ▌About you:
Sujet: Re: GABRIELLA • Never say Never. (♥) Ven 16 Juil - 17:37
HISTORY
Fire and Ice Some say the world will end in fire, Some say in ice. Form what I've tasted of desire I hold with those who favor fire. But if it had to perish twice, I think I know enough of hate To say that for destruction ice Is alsa great And would suffice.
ROBERT FROST
PROLOGUE
Je regardais devant moi, obnubilée par les flammes qui brûlait cette maison. J'avais essayé de m'approcher de ce mélange de couleurs, mais quelqu'un m'avait attrapé par le bras, m'empêchant de faire le moindre mouvement vers ce braiser. Les chances étaient minces pour qu'il s'en sorte. Je regardais, cherchant vainement une autre alternative. Que pouvais-je à par rester là à attendre ? Un sanglot rauque s'échappa de ma gorge, alors que je me retournais vers la personne qui m'avait retenu. J'enfouissais mon visage contre le torse de mon frère, pleurant à chaudes larmes. Pourquoi fallait-il que la vie soit si dire envers les êtres humains ? Pourquoi fallait-il que nous soyons si faible, nous, mortels ? Les pompiers n'avaient rien put faire contre ses flammes. C'était à cause de moi que cela était arrivé. Je me maudissais intérieurement d'avoir osé jouer avec la cheminer, incendiant ainsi cette belle maison. Et en même temps une personne très, très cher à mes yeux. Soudain, je vis. Une pair de yeux, aussi rouge que le feu, étincelèrent une dernière fois. Un hurlement de terreur se fit entendre. J'eus un frisson glacé qui me parcouru.
CHAPITRE UN
Je suis née à Philadelphie, le quatorze avril mille neuf cent quatre-vingt treize. Cette ville se trouve dans les États-Unis d'Amérique. Je grandis avec l'amour de mes deux parents, mais également avec la haine de mon grand-frère, qui ne supportait pas que j'étais la préférée de mon père. Notre vie n'était pas si aisée que cela. Mais nous étions heureux avec le peu que nous avions. Mes parents avaient durement économisés pour avec une belle maison pour moi et Jérémy, mon frère. Il a toujours été bizarre avec moi lorsque j'étais toute petite. J'avais à peine cinq ans, alors que lui en avait sept ou huit, je ne sais plus. Il ne m'aimait pas au début, et cela me désolait parce que moi je l'adorais comme une petite sœur aime son grand-frère. J'étais faible à cette époque, trop faible.
- Tu es là grand-frère !, m'étais-je exlamée. - Lâche-moi microbe, avait-il répliqué.
Sur ce, il s'en alla, ignorant totalement la petite fille que j'étais à cette époque pas si lointaine que ça. Il m'avait toujours détesté, pendant cette époque. Je me rappelle encore très bien de ses petits surnoms affectueux ! J'en ris encore. Il m'appelait microbe, mocheté, la chiante, l'affreuse... Mais jamais par mon prénom, et cela me faisait extrêmement mal. Comment un grand-frère pouvait autant haïr sa petite sœur à ce point ? Selon moi, les grands-frères sont la pour protégés leurs sœurs des méchants garçons et cie, les aimer, les complimenter, les aider avec leur petits-copains, etc. Alors pourquoi Jérémy ne se comportait-il pas comme ça avec moi ? Même s'il était comme ça, je l'aimais. Étrange non ? Plus je grandissais, plus Jérémy commençait à m'apprécier. Je m'étais rendue compte à quel point mes parents ne pensaient qu'à moi, et je leur avait touché un petit mot la dessus. Grâce à cette conversation avec eux, j'avais réussi à les faire s'intéresser à mon frère. Depuis, une bonne entende c'était esquissé entre lui et moi. Je ne pouvais qu'en être extrêmement heureuse, vous ne croyez pas ? Pour le moment, ma vie était douce et heureuse. Parfaite, ou presque. Mon père dégotta un nouveau métier, qui lui était profitable au niveau financier. Il gagnait beaucoup plus d'argent qu'avant, même si son travail était très, très dangereux. Il était photographe, et allait dans les pays pauvres ou en guerre... Ma mère, mon frère et moi, nous nous inquiétions beaucoup quand il partait de la maison. Pour le moment, ma vie était douce et heureuse. Parfaite, ou presque. Mon père dégotta un nouveau métier, qui lui était profitable au niveau financier. Il gagnait beaucoup plus d'argent qu'avant, même si son travail était très, très dangereux. Il était photographe, et allait dans les pays pauvres ou en guerre... Ma mère, mon frère et moi, nous nous inquiétions beaucoup quand il partait de la maison. Mais il revenait toujours indemne, heureusement d'ailleurs, vous ne trouvez pas ? Passons toutes ses choses pour le moment. Et entrons dans les petits détails anodins de la vie d'humaine. Un jour, lorsque j'avais environ douze ans -j'étais déjà entrée au collège, et je m'en sortais avec brio-, je décidais d'aider ma mère à faire la cuisine. Vous vous dites sûrement : encore un truc de gamine !, en rigolant. Et bien, je vous pari cinq dollas que vous vous blesserez comme moi je l'ai fais.
- Fais attention ma chérie, me dit ma mère. - Je sais, je sais ! Et arrête de m'appeler ma chérie, ca m'énerve !, m'offusquais-je.
Mais bien entendu je ne faisais aucunement attention à ce que je faisais. J'épluchais énergiquement ma pomme, sans faire attention. Puis, je m'entaillais profondément la maison en appuyant trop fort : la lame avait dérapé. J'avais poussé un cri de douleur en me blessais. Ma mère avait soupiré, et hurla à mon frère d'aller chercher la trousse de secours pour les blessures assez grave. Jérémy était revenu lorsque ma mère nettoyait doucement ma plaie. Cela faisait mal, mais j'étais forte alors je ne montrais pas ma douleur. Ironique, n'est-ce pas ? Ma mère me mit ensuite un bandage, disant que je serais guérie en un rien de temps. Tu parles ! Cela avait prit deux semaines. Deux longues semaines où je ne pouvais même pas écrire...
CHAPITRE DEUX
Je vais vous lire une partie de mon journal intime :
20 – 07 – 2009, 11:00 PM, Philadelphie
« (...) J'ai seize ans, soit cinq mille huit cent cinquante six jours environ. Ma vie était heureuse et parfaite. Jusqu'à ce jour funeste. Aujourd'hui. Que je hais les vacances ! Que je hais les vingt juillet ! Pourquoi fait-il que la vie soit si cruel envers les autres ? Pourquoi fait-il que ma vie soit un désastre complet à cause de moi ? (...) »
Ce jour là fut la catastrophe infernale. Je m'étais levée dans la nuit parce que j'avais soif. Je m'étais dirigée vers la cuisine pour boire un verre d'eau. Ce que je fis. Ensuite, comme à mon habitude lorsque je n'avais plus sommeil, j'étais allée vers la cheminée. Même si nous étions en pleine été, il y avait quelques braises dans le feu. Je rajoutais quelques bûches pour rendre les flammes plus haute. Je n'aurais jamais dû m'amuser avec le feu... C'est beaucoup, beaucoup trop dangereux. Avec le tisonnier, je m'étais amusée à jouer dans les braises en rigolant. Une faute à ne pas commettre. Une braise était tombée sur le tapis, et il commençait à brûler. J'avais paniqué, alors j'étais montée à l'étage réveillé Jérémy et mes parents. Le feu avait déjà brûlé tout le tapis, et commençait à « manger » le parquet. Jérémy s'était précipité dehors en m'emmenant par la main. Il voulait me protéger. Je m'étais conduite comme une gamine idiote. Je l'avais suivi sans discuter : de toute façon je devais lui obéir. Nous étions dehors lorsque la maison brûlant encore plus. Notre mère sortit quelques minutes après nous, sans notre père. Je me demandais où il était. Une boule se forma dans le creux de mon estomac, alors que je regardais ma mère d'un long regard scrutateur qui disait : Où est papa ? Elle ne me répondit pas, et je me disais qu'il était encore à l'intérieur. Pourquoi ? Les flammes mangeaient maintenant toute la maison. Je regardais devant moi, obnubilée par les flammes qui brûlait cette maison. J'avais essayé de m'approcher de ce mélange de couleurs, mais quelqu'un m'avait attrapé par le bras, m'empêchant de faire le moindre mouvement vers ce braiser. Les chances étaient minces pour qu'il s'en sorte. Je regardais, cherchant vainement une autre alternative. Que pouvais-je à par rester là à attendre ? Un sanglot rauque s'échappa de ma gorge, alors que je me retournais vers la personne qui m'avait retenu. J'enfouissais mon visage contre le torse de mon frère, pleurant à chaudes larmes. Pourquoi fallait-il que la vie soit si dire envers les êtres humains ? Pourquoi fallait-il que nous soyons si faible, nous, mortels ? Les pompiers n'avaient rien put faire contre ses flammes. C'était à cause de moi que cela était arrivé. Je me maudissais intérieurement d'avoir osé jouer avec la cheminer, incendiant ainsi cette belle maison. Et en même temps une personne très, très cher à mes yeux. Soudain, je vis. Une pair de yeux, aussi rouge que le feu, étincelèrent une dernière fois. Un hurlement de terreur se fit entendre. J'eus un frisson glacé qui me parcouru. Il y avait quelqu'un d'autre dans la maison. J'ignorais qui, mais il y avait quelqu'un d'autre. La douleur m'avait envahi lorsque je compris que mon père était mort dans les flammes de se brasier immense... Mon visage était plein de suis et de sueur à cause de la chaleur... Je pleurais encore dans les bras de mon frère : la première fois que je pleurais de toute ma vie. C'était une sensation très étrange.
CHAPITRE TROIS
Après ce terrible drame, ma mère à dût trouvé une nouvelle maison pour que, mon frère, moi et elle nous puissions vivre correctement. Finalement, elle s'était remise assez vite de la perte de son mari. Je trouvais cela étrange, mais personnellement je m'en fichais un peu. Moi, j'avais souffert. Et Jérémy, mon grand frère également. Ma vie n'était qu'une suite de désastre continu... Je sombrais doucement dans la dépression, jusqu'au jour ou ma mère m'annonça, à Jérémy et moi une grande nouvelle pour que nous pussions un peu changer d'air.
- Vous irez passer un moment chez le frère de votre père, Charlie. Il y aura votre cousine, Bella. Comme cela, vous changerez un peu d'air les enfants !, avait-elle dit en souriant.
En guise de réponse, je lui avais offert mon plus convainquant sourire forcé. Mais cela avait plutôt ressembler à une grimace, au lieu d'un sourire. Enfin bref ! J'étais allée avec mon frère chez notre cousine et notre oncle... Et bizarrement, cela m'avait fait du bien. Je me sentais revivre, et de nouveau heureuse. Chez ma cousine, j'avais rencontré son petit copain : Edward Cullen. Lorsque je le vis, j'en fus tétanisée. Il était d'une beauté époustouflante, et ses yeux dorés étaient... Étrange ? J'avais aussi rencontré Jacob Black. Un gentil et drôle garçon... Je l'ai apprécié tout de suite, même si je ne l'ai vu que deux où trois fois...
La suite ? Ce sera en RP ;]
GABRIELLA • Never say Never. (♥)
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