Sujet: Le petit lutin ▬ Alice. Ven 30 Juil - 10:53
IDENTITY CARD « Les secrets sont fait pour être garder... Ou pas. Que veux-tu savoir ? »
NOM Brandon, mais Cullen depuis maintenant pas mal d'années. : PRÉNOM : Alice Mary SURNOMS : Le petit lutin selon certains, autrement aucuns. AGE : 87 ans réellement, mais en parait 19. DATE DE NAISSANCE : LIEU DE NAISSANCE : Jacksonville. RACE : Vampires PERSONNAGE : [X ] PV // [ ] Inventé DON : Le don de voir l'avenir mais, rien n'est jamais très sûr. CÉLÉBRITÉ : Ashley Greene
PHYSIQUE & CARACTÈRE « Qui a dit que je ne possédais pas des signes distinctives et unique ? »
PHYSIQUE : La grâce est la première chose que l'on remarque tout de suite chez la brunette. Un vampire est normalement fait dans le moindre détails pour plaire. Alice, du deuxième prénom Mary mesure un mètre soixante-dix-sept exactement. Elle n'est pas très grande mais, sa taille lui convient parfaitement. Ses yeux sont d'une couleur anormale, autant dire que l'on ne croise pas tous les jours des gens ayant la couleur des iris doré, mais elle n'y prête que très peu d'attention. Il est bien plus mieux d'avoir les yeux or que rouge, cela passe bien plus inaperçu. Comme tous les vampires existants, Alice a la peau très pale ce qui fait ressortir encore bien plus ses yeux ainsi que ses cheveux de couleur ébène, sa peau est d'ailleurs aussi froide que le marbre. Malgré qu'elle soit une femme petite et menue, Alice est très agile dans ses mouvements, encore un trait fessant parti du monde des vampires mais, avec le temps, on n'y pense plus vraiment. Au côté vestimentaire, la brunette est une vraie fan de shooping, elle adore s'habiller convenablement, à croire que son amour pour le shooping remplacerai bientôt l'amour qu'elle porte envers son compagnon Jasper.
CARACTÈRE : Alice est une personne extravertie et sociable, elle n'a donc aucun mal à se faire des amis et parler à n'importe qui, sans le vouloir elle se met n'importe qui dans la porche, les personnes étant trop envoûté par sa beauté envoutante. La brunette est une femme très joyeuse, l'enthousiasme fessant parti chaque jour de son quotidien. Alice semble être une personne très terre-à-terre et sûr d'elle, une personne pratiquement imperturbable. Compréhensive et toujours à l'écoute des autres, Alice est la première à encourager les personnes qui lui sont les plus proches, d'ailleurs, elle se préoccupait un peu trop de leur état et de leurs sentiments, chose qui la tourmente de tant à autres. La jeune Cullen est aussi très joueuse, elle aime embêter parfois ses frères et soeurs, chose qui pourraient parfois les agacer.
RELATIONS :
Identité du Perso'feat. Star BlaBlaBlaBla
Identité du Perso'feat. Star BlaBlaBlaBla
HISTORY « Once upon a time... Il était une fois... Mon histoire. »
Raconter l'histoire de votre personnage en un minimum de 20 lignes. Mais, faite un peu plus vu que nous n'avons pas tous la même résolution d'écran.
BEHIND THE SCREEN « Que se cache derrière l'écran ? Qui êtes-vous en vrai ? »
SURNOM : Calleigh OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : Top-site. AGE : 17 ans LE FORUM TE PLAIT ? : Oui, bien sur. NIVEAU RPG : 8/10 EXEMPLE DE RP :
Spoiler:
Etant petite j'étais très proche de cette personne qui tenait le role de père. Il était souvent en désaccord avec ma mère sur le fait que je ne puisse sortir avec mes amis et c'était assez souvent le sujet de leur dispute. Il m'avait toujours protéger mais, il se faisait toujours dominer par ma mère. Pour une fois, les roles dans le couple était inversé, ce que je trouvait désagréable, surtout pour mon père. Ma mère était une femme froide et pourtant devant les autres, elle se montrait tout autrement, c'était une simple image qu'elle montrait d'elle afin de pouvoir sauver les apparances. Les apparences, pff tu parles. Elle n'était pas la meilleure personne pour pouvoir en parler. Pourtant, je ne contredit pas le fait que j'avais ce que je voulais quand j'étais petite. Je demandais et j'avais mais, c'était juste dans l'intention de se débarasser de moi. Tout le monde pensait que j'étais une fille à papa qui avait ce qu'elle voulait, que les parents pliait au moindre caprice, ces gens la faisais erreurs. L'argent ne fait pas la bonheur il y contribue. A la place j'aurais aimer avoir des parents aimant, présent, qui m'écoutent quand quelque chose ne va pas. Alors, quand mes parents n'étaient pas là, j'avais une personne qui me servait de nourrice. Une bien jolie et gentille dame, elle était la seule dans le domaine des Lorens à m'écouter, à m'aider à effectuer mes devoirs. Elle le savait que mes parents se fichait bien de moi. Parfois, je me demandais ce que j'avais fait en grandissant pour qu'ils soient ainsi a mon égard et j'avais bien retourner la question dans tout les sens, aucune réponse ne me venait à l'esprit. Alors parfois je leurs mentait, je disais que j'avais un cour de plus ou autre mais, c'était juste pour passer un peu plus de temps avec mes amis. J'allais chez une amie et je passais quelque temps avec ellle, c'était la seule solution que j'avais réussi à trouver. Les seules fois ou j'ai pu profiter pleinement de mes amis étaient lors de gala de charité. Pourtant, je détestais ce genre d'événement. Vous etes obligé d'avoir constament un sourire plaqué sur le visage, rigoler à des anneries qui ne sont pas marrante du tout, toujours trouver un sujet de discussion lorsque quelqu'un viens vous parler, des personnages très peu intéressante. A chaque fois, j'esperer que cela se termine au plus vite, j'étais toujours obligé de m'y rendre, ma mère y était à chaque fois accompagné de mon père qui lui non plus n'apprécier pas trop ce genre de soirée alors, souvent on échangé des regards et je comprenais alors que mon père n'en pouvait plus non plus. Quant à ma mère, elle rigolais à toutes sorte d'anneries puis, la soirée terminée elle disait s'etre bien amusé. Chose qu'elle n'avais pas besoin de nous signaler car on le remarquer très bien en la regardant durant la soirée. Tout cela se passait quand j'étais encore au collège car, à partir de lycée je ne faisais plus vraiment partit de cette famille malgré que je restais tout de meme leur fille. Dans tous les cas, je pensais que s'y j'aurais eu ce droit de sortit, elle n'aurait pas preter très grand attention à l'heure auquelle je serais rentrer, qui j'aurais fréquenter et encore moins de ce que j'aurais fabriquer de mes soirées.
J'ai changé radicalement de caractère, pourtant j'aurais pu etre une fille réserver, qui ne parle pas beaucoup, timidie et retirer dans son coin suite à ce que j'avais vécu et pourtant j'étais devenue tout le contraire. Une garce, voilà ce que j'étais, de plus je le savais très bien, les autres le savaient tout aussi bien que moi. On m'avait souvent répétait que j'avais un sale caractère et pourtant je n'ai pas changer pour autant. Changer pour etre pire cela n'en valait pas la peine. J'étais une fille qui détestait la routine et pourtant les journées se ressemblaient toutes enfin avant que je n'arrive à Havard. Les cours la journée, le soirs le travail, c'était ainsi que j'occuper mon quotidien, enfin le travail, si on peu apeller cela ainsi. Pour moi c'était plus une chose que je devais faire par simple obligation puisque pour travailler dans les café en tant que serveuse j'étais trop jeune et n'avais pas d'expérience dans ce domaine. Alors, je me retrouvais dans les rues, là on ne vous demande pas spécialement d'avoir de l'expérience, juste d'assouvir les désirs que ces monstres que sont les hommes. Quand le cauchemar pris fin, je n'acceptait plus le fait qu'un homme puisse me toucher, ni meme me froler c'est pour cela que j'étais aller voir un psychologue, selon mes amis les plus proches c'était la seule personne qui pouvait me venir en aide et pourtant à par lui parler, je ne voyais pas ou venait son aide. J'allais souvent dans ce cabinet ou j'étais assise sur un vieux fauteuil datant des années 80, des étagères comprenant des livres bien poussièreux et qui racontait des histoires stupides selon moi. Des histoires à l'eau de rose, à dormir debout, des livres sur la façon de faire le métier que l'homme qui m'écoutait sagement faisait chaque jours et lui se trouvait pas très loin de moi à m'écoutait et écrire sur son livret. Parfois, je me demandais ce qu'il pouvait bien écrire. Simple curiosité. Cette pièce sombre, que je connaissais pratiquement par coeur à force de l'observait à chaque fois que je m'y rendais. Parfois, je me moquais plus de lui, que de lui comter mon histoire, ma vie. Pourtant, il ne semblait pas le voir ou alors, il le savait mais, n'y preter pas attention, parfois dans ce cabinet j'avais l'impression d'etre folle. Parler à une personne qui me connaissais pas et qui plus ai se foutait bien de connaitre ma vie, cela ne l'empecherais pas de dormir et puis il en connaissait des centaines comme les miennes.
En sentant les regards derrière mon dos, j'avais envie d'hurler qu'ils aillent tous ce faire voirs et que sa arrivaient à tout le monde de ce déchirer ainsi mais, entre Maxweel et moi cela était certainement arrivés bien trop souvent. Les gens qui se trouvaient autour de nous le savaient parfaitement, depuis qu'ils nous connaissaient on ne faisais que sa, c'était devenue en quelque sorte une habitude. Il était incroyable de voir que meme quand nous n'étions plus ensemble on arrivais encore à se disputer. Sa en devenait pratiquement comique. On s'étaient déjà disputer devant tout le monde, toute l'université avait été invité à la résidence de la confrérie Zeta et cette fois encore, durant cette soirée nous nous sommes déchirés. Maxwell avait embrassé une fille sous mes yeux alors que nous étions censés etre en couple, j'aurais pu ne rien dire et laisser passer étant donner que ce dernier avec quelques verres d'alcool en trop dans le sang mais, ce fut bien plus fort que moi. Malgré qu'ils nous arrivaient de nous trompés mutuellement, je ne supportait pas de le voir dragurer une autre fille sous mes yeux. Moi, ce soir la je n'étais pas ivre, alors je savais encore ce que je faisais et ce que je disais. Si je ne m'étais pas retenue, cette fille s'en aurait chopé une. La soirée fut ensuite la plus désastreuses de toutes. Certains, n'avait meme plus fait attention au fait que nous nous disputions et était retounés à leur occupation en fait, c'était surtout à cause de Maxwell qui leur avait jeter un regard qui n'était pas le plus symphatique qu'il puisse avoir. C'étais mieux ainsi bien que je savais très bien que certains continuaient à écouter la conversation ou plutot la dispute qui avait lieu.
MAXWELL : « Mais oui c’est ça dégage ! Va donc rejoindre tes prétendants, je suis sûr qu’un bon nombre seront d’accord de te remonter le moral ! »
J'avais désertait le terrain, je ne supportait pas les réaction des gens qui d'un seul coup avait arreter leur activité pour me regard comme si j'étais une bete sauvage. Je savais ce qu'il pouvait bien penser de moi mais, qu'importe personne ne pouvait comprendre ce que j'avais vécu et encore moins ressentit face à tout ça. Heureusement que j'étais partit avant qu'il ne réponde autrement dit je crois que ma main serait partit toute seule. J'avais reveler une partie de mon passé devant tout le monde, chose que je n'avais jamais voulu faire, je voulais que personne ne le sache. Après tout, qui aurait aimé dire devant tout le monde. Oh moi, c'est simple mon passé se résumer à la prostitution. Non mais, franchement, c'était la honte assurer et je ne voulais meme pas penser à ce que les autres penserons de ce que je suis. Tout ce qu'ils pourront dire et bien c'est que je suis rester la meme, une prostituer. Je m'étais assise sur le banc des vestiaire, le temps de me calmer et aussi de rassembler mes esprits. Qu'allait-je pouvoir répondre si les gens venait me voir afin de me poser des questions ? J'avais décidé que pour moi l'entrainement aujourd'hui s'arretait là. Les filles avaient fini elles aussi et personne ne m'avait adresser la parole, juste quelque regard accompagné de sourire. Sourire quelque fois hypocrites pour certaines. Il n'était pas venu et ce n'était pas plus mal, je voulais etre seule, seule le cour d'un instant ou meme pour le reste de mes années à venir à Havard. La seule personne qui était venu me voir, qui avait oser était Hayden, la seule qui était totalement au courant de mon passé. Elle ne craignait pas le fait que je puisse l'envoyer voir ailleurs, chose que je ne fis pas, j'avais besoin de réconfort comme disais si bien Maxwell mais, pas d'un homme juste des personnes qui comptait énormément pour moi. Après un cour instant à rester la, immobile sur le banc des vestiaire, je décida de prendre ma douche qu'importe ce que pouvaient penser les autres, ce qui était fait était fait, il m'était à présent impossible de faire marche arrière. Ma douche dura un bon momet, à vrai dire l'eau chaude me faisait le plus grand bien, cela m'apesser un peu plus. D'après ce qu'avait dit les filles Maxwell avait du faire plusieurs tour de terrain et des bombes. Bien fait pour lui, fut ma seule pensée, il m'avait fait mal et je n'étais pas encore prete de la digérer.
MAXWELL : « Aileen ? T’es là ? »
J'avais fini ma douche et rangé mes affaires, puis je m'étais laisser glisser le long de mon casier, j'étais assise par terre quand la porte s'ouvrit, je ne savais qui était entrer mais, dans tout les cas, cela était certainement un garçon. La voix qui suivis fut facilement reconnaisable pour moi. Je ne répondit pas sur le coup, mes yeux était rouge à cause des larmes que j'avais laisser couler et je ne voulais pas qu'il le voit, je ne voulais pas qu'il estime une nouvelle fois de plus gagnant. La colère s'était dispece et je ne savais quel sentiment avait pris maintenant possesion de mon corp, je ne voulais rien faire, ne plus bouger, j'étais comme endormi, paralysée. Il fallait que je lui réponde mais, je ne savais que faire, l'envoyer ballader ? Je ne savais pas, je ne savais plus...
AILEEN : « Qu'est ce que tu me veux encore ? Tu as oublié quelque chose que tu devais me dire ? » répondis-je calmement.
J'étais calme et pourtant je savais que je lui en voulais, je lui en voulais de m'avoir fait autant de mal. Pourtant, il n'en était certainement pas conscient. Je m'étais toujours battu pour ne pas croiser de personne que j'avais pu rencontrer dans mon passer, battu pour que personne ne sache tout cela mais, à présent tout le monde le savait. Le silence planait, j'attendais une réponse, je m'attendais au pire, peut-etre n'avait-il pas encore fini de dire ce qu'il avait sur le coeur.
PRÉSENCE : 5/7 autant que possible. =)
Dernière édition par Alice Cullen le Ven 30 Juil - 14:24, édité 3 fois
“Je suis moi, juste moi” ▌Relationship: ▌Citation: “Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu que leur baiser consume.” ▌About you:
Sujet: Re: Le petit lutin ▬ Alice. Ven 30 Juil - 13:05
Bienvenue Alice <3
« Isabella Swan »
▌Messages : 40 ▌Date de Naissance : 13/09/1992 ▌Date d'Inscription : 17/07/2010 ▌Localisation : Forks ▌Emploi : Lycéenne à Forks